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Auteur/autrice : actuadmin

GMAO : géolocalisation et géo-planification au service de la maintenance

Les techniciens itinérants de sociétés de maintenance, service SAV et entreprises gérant des installations éparses doivent se déplacer de site en site afin de réaliser leurs différents opérations de maintenance préventive et curative (entretien, dépannage, contrôle, etc.) Pour répondre à ce besoin grandissant, la GMAO Altair a initié une petite révolution… Un enjeu économique de taille Pour les entreprises employant de nombreux collaborateurs itinérant, le transport est le véritable nerf de la guerre : la rentabilité d’une activité se joue souvent dans la réactivité, la rapidité de déplacement et du nombre d’intervention qu’il est possible de faire sur une journée. Le tout si possible sans déroger aux règles du code du travail et du code de la route, bien entendu ! Les outils qui permettent de raccourcir ces temps existent, et permettent de gagner du temps… mais aussi d’en perdre ailleurs. Entrer une adresse dans un GPS pour un trajet de deux heures, c’est intéressant, mais s’il s’agit d’un autre de dix minutes, le gain est-il aussi évident ? C’est là que deux outils, un spécifique (comme la GMAO Altair Enterprise) et un autre du quotidien (le smartphone), peuvent apporter une petite révolution. Une GMAO mobile, géolocalisée et connectée Le logiciel de GMAO est avant tout un hub où les informations se centralisent de toute part : les mesures manuelles et automatiques, les demandes d’interventions d’opérateurs ou de client, les...

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SNCF / RFF : Les drones vont-ils résoudre la problématique de maintenance ?

Le Réseau Ferré de France (depuis retourné dans le giron de la SNCF) a du faire face ces dernières années à plusieurs accidents ferroviaires mettant en cause directement ou indirectement la maintenance des voies ferrées en France. Parmi les nouveaux moyens pour redorer le blason du rail, une armée de drones, de 16 grammes à 13 kg, pourrait bientôt parcourir nos chemins de fer. On le sait déjà, le principal écueil du rail est qu’il demande beaucoup de surveillance et de maintenance, et les quelques 30 000 kilomètres de chemin de fer de France requiert la vigilance et le travail de plusieurs dizaines de milliers de collaborateurs. Des moyens humains déjà conséquents, qui montrent leurs limites et ne peuvent s’étendre à l’infini. La SNCF a donc décidé d’explorer d’autres voies pour donner à ses équipes de maintenance -ainsi qu’aux forces de l’ordre- un renfort musclé. L’objectif : prévenir les accidents, les retards et les dégradations, et donc la fiabilité globale du service. Un escadron complet en démonstration à Coubert A moins de 30 km de la capitale, la sous-station d’alimentation électrique dont dépend l’électrification de 25 km dont un nœud ferroviaire a vécu le 8 septembre dernier une démonstration ambitieuse préfigurant la maintenance de demain : une famille de drones au grand complet, du nanodrone de 16 grammes au poids-lourd de 13 kg, permettront d’assurer un ensemble de missions de surveillance des voies ferrées, incluant...

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Industrie manufacturière : la France à nouveau plus compétitive que l’Allemagne

Les années 2000 ont été marquées par l’inversion du rapport de force entre la France et l’Allemagne en matière de coût du travail, mais la tendance s’inverse au point que la situation peut basculer à nouveau dans les prochains mois. Un écart de compétitivité entre France et Allemagne qui rétrécit C’est au cours de la première moitié des années 2000 que l’Allemagne, suite à d’importantes réformes du droit du travail et profitant d’une bonne conjoncture économique, est parvenue à maîtriser la hausse de son coût du travail, au point de se faire dépasser par la France, traditionnellement plus compétitive. Jusqu’en 2012, l’écart ne faisait que se creuser entre les deux pays, laissant paraître une inquiétude forte des industriels comme des pouvoirs publics vis à vis de l’emploi et de la dynamique économique de la France en Europe. Depuis, le mot « compétitivité » est devenu un thème de campagne et un terme à la mode, en particulier quand il s’agissait de comparer la compétitivité de la France et de l’Allemagne. Toujours est-il que la donne a changé. La conjoncture économique, combinée à la volonté politique d’améliorer la compétitivité en France ainsi qu’à celle des syndicats allemands ayant négocié d’importantes augmentations au printemps dernier ont permis à cet écart de se resserrer pour la première fois, revenant peu ou prou à la situation d’avant la crise. Une industrie manufacturière qui confirme une compétitivité supérieure Si l’industrie manufacturière allemande est...

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Un bâtiment de 3 étages livré en 24 heures, c’est possible !

La construction préfabriquée n’est pas une nouveauté : on a trouvé des traces de tels procédés aussi loin que l’on remonte dans la civilisation. Mais depuis la seconde guerre mondiale et surtout les trente glorieuses, la construction préfabriquée a connu un véritable essor. Eiffage a poussé encore plus loin la démarche avec une première mondiale ! Un immeuble de 3 étages, et deux logements habitables en 24 heures Pour réussir cette performance, la société Eiffage a du pousser la préfabrication jusqu’au plus petits détails : la structure en ossature bois est entièrement habillée (intérieur comme extérieur) en atelier, et même les équipements sont pré-installés : la cuisine et la salle de bain sont ainsi livrées déjà montées et connectées. Les gaines techniques ont été pré-montées par sections, il suffisait alors de les raccorder entre elles pour que l’ensemble soit opérationnel. Une véritable armée pour un mini chantier Monter une maison en 24 heures demande un maximum de préparation en amont, mais aussi beaucoup de moyens en aval. Pour réussir à rendre pleinement habitable et fonctionnel ce bloc de deux logements, il aura fallu pas moins de 30 ouvriers et techniciens, qui ont suivi une partition rigoureusement minutée permettant de tout exécuter en un jour complet, de la structure à la pose du gazon. Un tour de force prémonitoire Qu’on se le dise : esthétiquement, cet immeuble évoque plutôt l’HLM des années...

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Ouverture d’une nouvelle section BTS Maintenance des parcs éoliens à Montmorillon

Le métier de la maintenance se spécialise de plus en plus, et les lycées professionnels en tiennent compte en ouvrant de plus en plus de sections permettant de développer des compétences particulières. Un dixième établissement propose ce BTS dès la rentrée 2015 Les premières promotions de brevet de technicien supérieur en maintenance des parcs éolien se sont naturellement ouvertes dans des régions fort développées en matière d’éolien. Ainsi, près de la moitié des écoles étaient jusqu’à présent localisée en Picardie et en Pays de la Loire. Un établissement en Normandie, ainsi qu’un autre en Midi-Pyréenée permettaient de diversifier l’implantation de ces formations. Désormais, le Poitou-Charente dispose également de son pôle de formation, où tous les jeunes titulaires d’un Bac Pro Maintenance des Equipements Industriels ou Electrotechnique, d’un Bac technologique STI2D ou d’un Bac Général SSI...

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