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Auteur/autrice : actuadmin

De l’impression 3D pour la maintenance des moteurs d’avions

Les imprimantes 3D ont connu un véritable boom ces dernières années, devenant accessibles au grand public et aux petites entreprises. Leur utilité a notamment été mainte fois prouvée lorsqu’il s’agit de réparer un objet ou fabriquer une petite pièce de rechange. Une application qui se prolonge jusqu’à l’aéronautique. La maintenance des avions est très coûteuse, en particulier lorsqu’il s’agit des turboréacteurs. La maintenance complète de ces propulseurs représente la moitié du prix de construction, tant elle est demandeuse de main-d’oeuvre, de matériaux et de savoir-faire. Au coeur des réacteurs, ce sont les innombrables aubes, ailettes disposées en hélices qui permettent...

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Pyréenées : hommage à un agent de maintenance décédé

A Cauterets, la station de sport d’hivers des Hautes-Pyrénées a connu un drame : Bastien, mécanicien de 27 ans, est décédé lors d’une opération de maintenance, happé par le mécanisme d’un tapis de remontée mécanique. Niché dans les Pyrénées, cette station est de taille moyenne : 19 remontées mécaniques permettent de parcourir les 72 km de pistes de ski alpin (au nombre de 19) de ski de fond (5), sur les domaines du cirque de lys et de Pont d’Espagne. Un domaine apprécié des touristes, qui emploie 2000 personnes en saison. La station avait connu en 2015 un accident (ne faisant pas de victimes) lorsqu’une avalanche détruisit la télécabine du Cambasque, remontée mécanique de secours permettant d’atteindre le domaine du Lys. Depuis lors, la vigilance était accrue sur le parc technique de la station. Ce lundi 29 février cependant, un autre accident est survenu sur le domaine alors que Bastien Jean-Dit-l’hospital, mécanicien et ancien pompier volontaire, intervenait sur un tapis roulant d’une piste pour enfant. L’enquête de la gendarmerie est toujours en cours, mais il semblerait que son bras ait été happé par le mécanisme lors de la remise en route, avant d’être pris dans un rouleau. Enfant du pays, Bastien sera inhumé ce vendredi après-midi. L’ensemble du domaine skiable sera alors fermé en signe de deuil et en hommage à cet homme qui travaillait à la sécurité des autres. Un...

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Faciliter la gestion de maintenance en optimisant les flux d’information

Si tous les métiers de l’industrie et des services évoluent, celui de la maintenance fait clairement partie de ceux qui connaissent les plus grands bouleversements ces dernières années, devant faire face à l’explosion du potentiel de l’information. La maintenance s’inscrit de plus en plus dans une problématique de gestion globale de l’entreprise. De plus, elle doit tenir compte de paramètres extérieurs : sûreté, écologie, conditions de travail, gain de compétitivité, référentiels et réglementations… Pour l’épauler, elle peut néanmoins bénéficier d’une manne toujours plus importante de données qu’elle peut exploiter : capteurs connectés, remontée du terrain, équipements intelligents. Ce gain de complexité de l’information...

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1.5 milliards d’euros d’investissements dans les trains Intercité

Le parc de la SNCF est en constante évolution, et c’est au tour des vieilles lignes Intercité de connaître un peu de jeunesse… Les trains Intercité ont en moyenne 35 ans, et ont l’image du train de papa, celui qui était là avant le TGV. Soucieux de moderniser son service (et réduire la vétusté du parc roulant), la SNCF va investir près de 1,5 milliards d’euros sur 4 lignes majeures du réseau : Paris-Limoge-Toulouse, Paris-Clermont-Ferrand, Bordeau-Toulouse-Marseille et Paris-Caen-Cherbourg. Ces lignes irremplaçables, en l’absence de lignes à grande vitesse, accueilleront de nouvelles rames, provenant de Bombardier et Alstom. Le cahier des charges comprend une amélioration du confort des voyageurs, l’accessibilité à Internet et plus de propreté. Cela marquera peut-être la fin prochaine des voitures à compartiments, charme suranné dont bénéficient encore quelques vieilles voitures Corail, déployées entre 1975 et 1989 sur le réseau ferré...

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Maintenance nucléaire : 110 000 emplois d’ici 2020

Notre parc nucléaire vieillit et nous commençons à aborder la phase prévisible et coûteuse du combat contre la vétusté des installations. Au centre du dispositif, le grand carénage et une facture extrêmement coûteuse, mais aussi un grand vecteur d’emploi. Le grand carénage a débuté il y a peu près un an avec la centrale de Paluel, une des plus ancienne centrale en activité, qui connait notamment le remplacement d’un de ses générateurs. Ce chantier pharaonique, écho trentenaire de la vague de nucléarisation de notre production électrique, va coûter plusieurs dizaines de milliards d’euros et s’achèvera vers 2030. L’opération vise à prolonger la longévité des réacteurs jusqu’à 60 ans, en remplaçant certains équipements arrivant en fin de vie. Ces travaux, combinés à la mise aux nouvelles normes définies suites à l’accident de Fukushima, représentent un chantier qui sera générateur de plus de 100 000 emplois direct et indirects dans les 15 prochaines années… et une facture estimée à 100 milliards d’euros. De nombreux emplois dans la maintenance Les centrales nucléaires ont une position extrêmement symbolique quand il s’agit de la sûreté des installations : scrutées par les ONG, questionnées par les médias, elles cristallisent autour d’elles (parfois à tort, souvent à raison) les craintes de l’inconscient collectif envers les grands sites industriels à risque. Mais au-delà des apparences, l’outil de production électrique nucléaire est bien un des plus grands employeurs en France, en...

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